Quelques biographies d’artistes

Ariel Alonso, Chef de chœur

Ariel Alonso

Bio complète

En Argentine, son pays d’origine, Ariel Alonso obtient les diplômes de piano (Médaille d’or) et de direction au Conservatoire Supérieur Manuel de Falla de Buenos Aires. En France depuis septembre 1987, en vertu de l’obtention d’une bourse du Ministère des Affaires Etrangères français, il obtient le diplôme supérieur de direction d’orchestre à l’École Normale de Musique de Paris Alfred Cortot. En 1998, il devient titulaire du Certificat d’Aptitude aux fonctions de professeur de chant choral, direction d’ensembles vocaux. Il complète ensuite sa formation lors de master-classes de direction de chœur dans l’Académie Internationale Bach, Stuttgart-Buenos-Aires, la Cité de la Musique de Paris, le Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon et le Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris. En 2010 il obtient le Master en Gestion et Administration de la Musique à l’Université de Paris-Sorbonne.
Ariel Alonso a dirigé les chœurs et les ensembles instrumentaux des conservatoires de Châtillon (Hauts-de-Seine), Avallon (Yonne), Jean-Philippe Rameau (Paris VIème) et Maurice Ravel (Paris XIIIème). Entre 1991 et 2005 il a assuré la direction musicale des Petits Chanteurs de Saint-Louis de Paris en interprétant un large répertoire allant du Dixit Dominus de Haendel ou le Beatus Vir de Vivaldi à la Messe de Stravinsky. Depuis 1989, il est le directeur musical du chœur d’oratorio de Limours (Essonne) dont le répertoire est composé des grandes œuvres pour chœur est orchestre : Israël in Egypt de Haendel, Messe en La bémol majeur de Schubert, Stabat Mater de Rossini, Grande Messe en Ut de Mozart, Elias de Mendelssohn, Stabat Mater de Dvořák, entre autres. En 1992 il fonde le chœur de chambre Mélanges dont le répertoire est composé majoritairement d’œuvres pour chœur a cappella de la première moitié du XXème siècle.
Depuis janvier 2000, il est professeur titulaire de la classe de direction de chœur et dirige les chœurs d’enfants et d’adultes du conservatoire à rayonnement départemental de Créteil. Il dirige également l’orchestre et le chœur d’enfants du conservatoire de Neuilly-sur-Seine, ainsi que la classe de direction de chœur et l’ensemble vocal du conservatoire Gustave Charpentier (Paris XVIIIème). Il est souvent sollicité pour animer des stages et master-classes de direction de chœur et de chant choral par la Mission Voix d’Ile-de-France, la Mission Chant Choral du conservatoire à rayonnement régional d’Aubervilliers, l’Institut Européen de Chant Choral, l’Institut Français d’Art Choral, l’Association Argentine des Chefs de Chœur, l’Institut Universitaire National d’Art de Buenos Aires. Il est régulièrement demandé pour intégrer des jurys de concours dans la spécialité de direction de chœurs. Il est chef invité de chœurs professionnels tels que le Chœur Polyphonique National et le Chœur National de Jeunes d’Argentine. Depuis septembre 2012 il dirige les chœurs de l’Université de Paris-Sorbonne.

Bio courte

Né en Argentine, Ariel Alonso obtient ses diplômes de piano – Médaille d’or – et de direction au Conservatoire Supérieur de Musique « Manuel de Falla » de Buenos Aires, sa ville natale. En France, pays où il réside depuis septembre 1987, il obtient le diplôme supérieur de Direction d’orchestre à l’École Normale de Musique de Paris Alfred-Cortot ainsi que le Certificat d’Aptitude aux fonctions de professeur de chant choral et direction d’ensembles vocaux délivré par le ministère de la Culture. Il est également titulaire d’un Master en Gestion de la Musique de l´Université Paris – Sorbonne, dont il dirige les chœurs depuis septembre 2011. Il est fondateur et directeur musical du Choeur de Chambre « Mélanges ». Il enseigne la direction de chœurs au Conservatoire de Créteil et au Conservatoire Gustave Charpentier à Paris.
Académie Symphonique de Paris
Cet ensemble à géométrie variable a été fondé notamment par le violoncelliste Jérôme Treille.
Sans chef permanent, il regroupe les meilleurs instrumentistes, tous issus des plus prestigieuses phalanges parisiennes.
Des saisons passées, on retiendra plus particulièrement la force et la justesse d’interprétation de la Messe en si de Bach, du Requiem de Mozart, du Messie de Haendel, du Requiem Allemand de Brahms, des Stabat Mater de Rossini et de Dvořák et du Gloria de Vivaldi.
Son violon solo, Valérie Beutin, a suivi ses études musicales au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où elle a obtenu en 1988 un prix d’harmonie. En 1989 elle obtient un premier prix de violon, et un premier prix de musique de chambre. Elle a été récompensée par un prix de musique de chambre au concours international de Paris en 1989.

Cecilia Mazzufero, soprano

Née à Rosario, dans l’état de Santa Fe, en Argentine, Cecilia Mazzufero a effectué ses études de violoncelle à l’Université National de Rosario. Puis a étudié le chant au Conservatoire Supérieur de Musique de Buenos Aires ‘Manuel de Falla’, où elle a obtenu son diplôme supérieur en Chant – Musique Ancienne.
Elle s’est formée avec Graciela Oddone et Víctor Torres en musique ancienne ; dans les domaines de l’ópera avec Irene Burt, Ana Sirulnik, Marcela Esoin et Guillermo Opitz (Buenos Aires) . Actuellement, elle se perfectionne avec Paul Triepels, Margot Modier et Emmanuel Olivier à Paris.
Elle a participé à de nombreux festivals de musique baroque ansi qu’à des master-classes avec: Gabriel Garrido, Daniela Dolci, Emma Kirkby, Jeffrey Gall, Juan Manuel Quintana, Rosa Domínguez, Víctor Torres, Martín Oro. Elle a été finaliste au concours National de Chant Lyrique de la ville de Béziers (France), en Mars 2015.
Elle a incarné Proserpine dans “La descente d’Orphée aux enfers” de Charpentier (direction : Juan Manuel Quintana, Buenos Aires) ; Ruth dans l’opéra contemporain « La casa sin sosiego » de Gerardo Gandini (direction : Marcelo Delgado, Buenos Aires) ; Speranza dans l’opéra “L’Orfeo” de Monteverdi (direction: Leonardo García Alarcón, France).

Cecilia MAZZUFERO, soprano

Elise Bédènes, mezzo- soprano

Après des études de piano, de musicologie et un CAPES d’éducation musicale, Élise se tourne vers le chant et obtient un DEM de chant lyrique avec mention très bien et un DEM de musique ancienne mention très bien à l’unanimité avec les félicitations du jury.
Elle intègre ensuite la formation professionnelle de la maîtrise de Notre-Dame de Paris (classe d’Yves Sotin) et en sort brillamment diplômée. Elle bénéficie également des conseils de Margreet Hönig, Malcom King, Udo Reinemann, Alain Buet, Yves Coudray, Marguerite Modier, Mireille Delunsch. Elle approfondit aujourd’hui sa technique auprès de Cécile de Boever et a intégré son Pôle lyrique d’excellence lors de la saison 2014-2015.

Élise Bédènes

Catherine Cardin, alto

Catherine Cardin

Ses rôles de prédilection sont Cherubino (Les Noces de Figaro), Sesto (La Clémence de Titus), la 2ème dame (La Flûte enchantée), Niklausse (Les Contes d’Hofmann), Concepcion (L’Heure Espagnole), Mercedes (Carmen), Orlofski (La Chauve-Souris), Rosine (Le Barbier de Séville), Roméo (Bellini), Le Prince Charmant (Massenet) mais aussi Ottavia (Le Couronnement de Poppée), Ruggiero (Alcina), Sesto (Giulio Cesare)…
Elle est Rose-Marie Cottage et Polly Jarretière lors de la création de l’opéra Au Bois lacté de François Narboni à l’opéra de Metz en 2008. Elle chante également les rôles de Didon (Didon et Enée), de Dorabella (Cosi fan tutte), Cherubino, Barbarina (Les Noces de Figaro), Orlofski (La Chauve Souris) et Hélène (La Belle Hélène). En juillet 2014, elle est Meg Page dans Falstaff de Verdi, à Vendôme, dans une mise en scène de Pierre Thirion-Vallet.
Elle se produit également lors de récitals, notamment avec l’Ensemble Du Bout des Doigts dirigé par Alexandra Cravero (Opéra français, récital Verdi, etc.) et en oratorio (Magnificat et Gloria de Vivaldi, Via Crucis de Listz, Petite Messe Solennelle de Rossini…)
Membre de l’Ensemble vocal Aedes, elle chante également avec Les Cris de Paris, Les Siècles, La maîtrise de Notre-Dame de Paris, Sequenza 93, Musicatreize, etc… et sous la direction de Jérémie Rhorer, Lionel Sow, Mathieu Romano, Geoffroy Jourdain, Roland Hayrabedian, François-Xavier Roth, Fabio Biondi, Reinhard Goebel, Marc Minkowski, etc.
Elle participe régulièrement aux productions du Théâtre des Champs Elysées dans des mises en scènes de Stéphane Braunschweig, Patrice Caurier & Moshe Leiser, Eric Genovèse, Denis Podalydès…

Professeur d’Art Lyrique au Conservatoire de Courbevoie, elle est aussi pianiste et professeur d’éducation musicale. Encouragée dans le travail du chant par Arthur Oldham, chef du Chœur de l’Orchestre de Paris, elle devient l’élève de Maria Gracia Dilluvio, puis de Marguerite Pifteau, avant de se perfectionner auprès de Gabriel Bacquier, Andréa Guiot, Régine Crespin…

Elle débute sa carrière de soliste d’oratorio dans le cadre des grands concerts parisiens, se distinguant dans tous les répertoires, de Carissimi à Messiaen et donne de remarquables interprétations du Requiem de Verdi, saluées
par la critique à Cannes. Elle incarne également Orphée, Dalila et on a pu l’applaudir dans les « Dialogues des
Carmélites » de Francis Poulenc, avec l’Orchestre National d’Ile de France, ainsi que dans “ la Vida Breve ” de Manuel De Falla, et plus récemment dans « Hansel et Gretel » de Humperdinck. Elle s’illustre par ailleurs régulièrement dans des récitals et a participé aux émissions d’Ève Ruggieri Musiques au cœur ainsi qu’à celle de Jean-Michel Damian sur France Musiques consacrées toutes deux à Manuel Rosenthal. Elle enseigne également la technique vocale au chœur d’enfants de Créteil « Sotto Voce » et organise des masterclass pour les plus grands.

Pour le disque, elle a enregistré notamment les Requiem de Verdi, Mozart et Duruflé, les litanies à la Vierge de
Monteverdi, et en création mondiale, le Requiem d’Ignaz Pleyel et des mélodies avec orchestre d’Alain Rotenberg.

Jean-Louis Serre, baryton

Jean-Louis Serre

Jean-Louis Serre commence très tôt sa formation musicale par le biais exigeant d’une Maîtrise de garçons ; suivent ensuite des études de langues classiques dans les Universités de Tübingen et Heidelberg (Allemagne), mais il revient bien­tôt à ses premières amours et entre au CNSMP (Conservatoire National de Musique de Paris) où il travaille avec Jane Berbié, Rémi Corazza puis Marie-Claire Cottin.
Dès lors, il est rapi­de­ment intégré aux circuits professionnels et appelé à exercer son métier de chanteur. De tous les genres musicaux, l’opéra reste le lieu où Jean-Louis SERRE donne toute sa mesure d’artiste lyrique et de comédien : les théâtres comme le Châtelet, les Champs Elysées, l’Opéra-Comique, mais aussi Nancy, Toulouse, Tours, Avignon, Rennes, Angers, l’accueillent régulièrement ; sa présence scénique et son timbre de voix si particulier l’y font toujours remar­quer.
Il aborde avec une ferveur et une inten­sité toute per­son­nelle le réper­toire d’Oratorio que son passé de Petit Chanteur lui a appris à apprécier et à comprendre : les orchestres et les choeurs renom­més (Orchestre National de Lyon, Orchestre National de Lille, Choeurs de Radio France, Concerts Colonne, Lamoureux, Picardie…) ainsi que de nom­breux choeurs ama­teurs font appel à lui pour interpréter les class­ques du genre : Requiem Allemand de Brahms, Requiem de Duruflé, Requiem de Fauré, Cantates, Passions et Messes de Bach, Rossini, Mendelssohn….
Sa for­ma­tion initiale lui permet d’aborder le répertoire baroque et a travaillé avec des musiciens incontournables tels que Marc Minkowski, Christophe Rousset, Jean-Claude Malgoire, Hervé Niquet, Philippe Herreweghe…
Pour la saison 2008/2009, de nombreux et beaux concerts (Roquevaire, Coignières…) s’annoncent. Récitals orgue, trom­pette et chant avec l’ensemble dont il est cofondateur, « ConcerTrio », Passion selon St Jean avec F. Gregorutti, Requiem de Verdi avec S. Cardon et l’orches­tre de Douai, Requiem de Mozart avec O. François, P. Kuentz, Cantates de Bach et Telemann avec J.M. Deglane, Neuvième Symphonie de Beethoven avec T. Sonderling, Requiem de Fauré et Mozart avec C. Chauvet et D. Rouits, Le Messie de Haendel et le Requiem alle­mand avec A. Alonso, Requiem de Duruflé avec F. Bardot, Petite Messe Solennelle de Rossini avec G. Darchen. Il don­nera également le Requiem de Fauré avec R.Lemêtre pour le festival de la Voix dans tous ses éclats, la cantate 140 et la messe en fa avec Christian Ciuca, un programme Allegri, Palestrina pour le fes­ti­val de Celle sur Belle dirigé par F.Gregorutti,la Missa in tempore belli avec JM Hasler à Sylvanes. Il dirigera deux stages de chant, le premier à Tain l’Ermitage dans le cadre du festival Vochora puis à l’Alpe d’Huez, enfin un stage de musique de chambre à Mehun sur Yèvre.
Jean-Louis Serre met­tra en scène Didon et Enée de Purcell, le pau­vre Matelot de Milhaud et le Téléphone de Menotti dans le cadre de sa classe d’art lyrique à l’auditorium M.Ravel de Levallois.

Marie-Noëlle Cros, soprano

Marie-Noëlle Cros

Marie-Noëlle CROS a débuté son parcours par le violon avec un prix d’excellence à l’âge de 16 ans. Après 15 ans d’orchestre, elle se consacre au travail de la voix et est très vite engagée dans de nombreux emplois de soliste d’oratorio, abordant un répertoire allant de MONTVERDI à VERDI et contemporain.

Elle est ainsi régulièrement à l’affiche des concerts parisiens (La Madeleine, St Germain des Prés, St Séverin, le Cirque d’Hiver…) et l’invitée de festivals en France et à l’ETRANGER se produisant avec l’Orchestre de la Radio Polonaise, National de Lituanie, de l’Opéra de Minsk, la Philharmonia d’Ekaterinbourg, la Camerata de St Petersburg, l’Orchestre de la Garde Républicaine, Régional de Cannes, Régional d’Auvergne…

Sa rencontre avec Anne Garance Fabre Dit Garrus, Philippe Spinosi, Robert Expert, Damien Guillon, Nico Van der Meel, Stefano Intrieri, Thibault Noally… lui donne l’opportunité d’aborder avec une grande passion l’univers baroque, dans des oratorios, récitals d’airs d’opéra et de cantates avec des ensembles à géométrie variable.

Très attirée par le jeu de scène, Marie-Noëlle CROS a chanté et joué, notamment, les rôles de Catherine dans Pom’d’Api et Fiorella dans les Brigands d’Offenbach et se produit en récitals et spectacles imaginés et mis en scène autour d’OFFENBACH dans « Tout feu tout femme » et « OFFENBACH tout en femmes ».

Sa rencontre avec Daniel STIRN, puis Henri LOCHE lui ouvre les portes de la création dans le domaine de la MELODIE FRANCAISE, ces compositeurs la choisissant pour interpréter et enregistrer l’intégrale de leurs mélodies, enregistrements séduits par les critiques et diffusés sur France MUSIQUE. Son attachement à la poésie, la mélodie et le partage des mots avec le public la porte actuellement dans une démarche d’ouverture vers la découverte de multiples partitions inédites qu’elle a à cœur de promouvoir.

Florian Hille, baryton basse

Florian Hille, Baryton Basse

Florian Hille, est né en Allemagne à Schwerin. Il a fait ses études a la Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin dans la classe de chant d’Alexander Vinogradov et dans la classe de Lied de Wolfram Rieger. Il est lauréat du concours national Jugend Musiziert ainsi que du concours international de Musique Proscrit.
A l´occasion de nombreuses master-classes, Florian bénéficie des conseils d’artistes de renom, tels que Thomas Quasthoff, Rudolph Piernay et Margreet Honig, Hélène Golgevit.
Lors du Schleswig Holstein Musikfestival, il fait ses débuts sur la scène internationale avec le rôle de Jésus dans la Passion selon Saint Jean de Bach dans une mise en scène de Robert Wilson à l´opéra de Kiel.
Depuis, boursier de la Fondation Richard Wagner et avec le soutien de la Fondation Royaumont, il a eu la possibilité d´approfondir son expérience de la scène lors de nombreuses productions et concerts : il est Bartolo dans Le Nozze di Figaro de Mozart, Basse dans le Requiem de Mozart avec l’Orchestre Symphonique de Singapour, dirigé par Rolf Beck et chante dans Jeanne d´Arc au Bûcher de Honegger au Festspielhaus de Salzburg.
Actuellement il poursuit ses études au CNSMD de Paris dans la classe de Glenn Chambers

Judith Gauthier, soprano

Judith Gauthier

Ancienne élève du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, la mezzo-soprano Judith Gauthier se produit sur les plus belles scènes européennes dans les grands rôles du répertoire lyrique. Accompagnée par Anne-Catherine Kaiser au piano, elle interprétera à l’occasion de ce concert un programme de lieder allemand (Sieben früher Lieder de Berg) ainsi que des mélodies françaises dont le cycle Serres chaudes d’Ernest Chausson d’après le recueil poétique de Maurice Maeterlink.

Patrick Garayt, ténor

Patrick Garayt

Après des études de piano au Conservatoire de la ville de Valence, Patrick GARAYT travaille sa voix dès l’âge de dix-huit ans. Commence alors pour ce jeune artiste une brillante carrière qui, menée avec intelligence et patience, le conduira à chanter dans toute l’Europe, allant même jusqu’en Ukraine, Russie, ou au Paraguay et dernièrement à Vilnius (Lituanie) où il interpréta le rôle de Tamino de « La Flûte Enchantée » de Mozart sous la baguette de G. RINCKEVICIUS… Citons sa participation au Festival de la Chaise-Dieu dans la Passion selon ST Matthieu de JS Bach avec l’Orchestre d’Auvergne sous la direction d’ARIE VAN BEEK, le Requiem de Gouvy sous la direction de Jean Philippe DUBOR, David Penittente de MOZART au Festival d’Automne de Prague, avec l’Orchestre de Chambre de SALZBOURG ainsi que le rôle titre de la Damnation de Faust de BERLIOZ à EKATERINBOURG (Russie) sous la direction de DMITRY LIIS (Conductor of the Ural Philarmonic Orchestra)…

Il a participé aux 19éme Victoires de la Musique sous la direction de Yoel LEVI et l’Orchestre National d’Ile de France.

En mai 2012 dernier il a chanté sous la direction d’Andreas Meisner et le New Philharmonie de Westfalen : La Terre Promise de J. Massenet.

Il vient d’interpréter à Paris sous la direction Amine Kouider à l’UNESCO le rôle de Turridu de la Cavalleria Rusticana de Pietro Mascagni et à Lyon sous la direction de Philippe Fournier le rôle de Cavaradossi de la Tosca de Giacomo Puccini. Dernièrement ; Traviata de Verdi à Paris rôle d’Alfredo.

Il se produit régulièrement dans en récital, Vitoria Hall de Genève, grange au lac d’Evian, opéra de Vichy, de Vienne et Salzbourg sont ses derniers lieux de concert.

… se produisant dans un répertoire exceptionnellement large, Patrick GARAYT est l’un des ténors les plus appréciés pour ses qualités musicales et pour sa voix : tout à la fois chaude, agile, souple et puissante. Patrick GARAYT donne la preuve qu’il peut tout chanter ! Avec près de deux milles concerts à son actif, il est difficile de rendre compte d’une carrière déjà si foisonnante. Patrick GARAYT a enregistré une cinquantaine de C.D. dont Le Ciel a visité la Terre, Les plus Beaux Airs de l’Opéra Français, « le ténor dans tous ses éclats ». Et dernièrement des Mélodies Napolitaines « Per la mia dolce fata », sous la direction de Michel PIQUEMAL Orchestre Pasdeloup et le chœur Régional d’Ile de France la messe de CAILLEBOTTE et La tête dans les étoiles « A la découverte des Ave Maria ».

Delphine Doriola, soprano

Delphine Doriola

Delphine Doriola a découvert très tôt le plaisir de la scène au sein du Chœur d’enfants de l’Opéra de Montpellier dans Werther, Tosca, Carmen, La Gioconda… Elle a également pratiqué la danse classique durant plusieurs années et intégré une troupe de danse pour enfants.
Ses études lui ont permis d’obtenir le 1er Prix de Chant Lyrique et le Prix d’Excellence du Conservatoire International de Musique de Paris (1997), le Prix du Conservatoire National de Région de Rueil-Malmaison (2001), la Médaille d’Or à l’unanimité du Conservatoire National de Région de Versailles, ainsi que le 1er prix du Concours Européen de Musique de Picardie (2002).
En complément de sa formation vocale, elle a suivi un apprentissage théâtral (Cours Charles Dullin) et pratiqué l’escrime de théâtre auprès de maîtres d’armes enseignants à l’ENSATT.
Elle a déjà interprété deux cents fois La Vie Parisienne de Jacques Offenbach (mise en scène : Jérôme Savary) à l’Opéra-Comique de Paris ou encore des créations comme Signé Vénus de Kurt Weill (Opéra de Lyon) en 2006 et 2007.
A l’instar de Denise Duval, elle chante avec bonheur les oeuvres de Francis Poulenc, des Mamelles de Tirésiasau Stabat mater.
On a pu l’entendre au Kennedy Center de Washington, à l’Opéra de Shanghaï, au Château de Compiègne, et à Paris Salle Cortot, Salle Pleyel ou à l’Hôtel de Ville. Elle a été invitée en tant que soliste par l’Orchestre des Hôpitaux de Paris, l’Orchestre Eugénie, l’Orchestre Bernard Thomas, par le Festival international de Musique du Portugal, et à Milan pour un concert en hommage à Maria Callas.
Elle a participé à la première session Voix Célestes de l’Abbaye de Royaumont (95) sous la direction de Bernard Tétu, Joris Verdin et Joël-Marie Fauquet. Elle s’est ainsi familiarisée avec la musique sacrée française du XIXème siècle pratiquée avec orgue ou harmonium (César Franck, Théodore Dubois, Massenet, Gounod, Saint-Saëns,…).
Durant la saison 2008-2009, on a pu notamment la découvrir dans le rôle-titre de « La Périchole » (Paris), et la retrouver dans le rôle de Gabrielle, dans « La Vie Parisienne » d’Offenbach, avec l’Orchestre Bernard Thomas, au Théâtre du Trianon (Paris). Les amateurs de l’art du récital ont eu de nombreuses occasions de l’applaudir dans un répertoire de musique française et italienne du XIXème siècle, de la Suisse au Portugal en passant par l’Eglise Saint-Marcel de Paris ou le Théâtre de l’Onde de Vélizy.
Par ailleurs, son intérêt pour la musique sacrée a pu pleinement s’exprimer dans Ein Deutsches Requiem de Johannes Brahms, interprété sous la direction d’Ariel Alonso et accompagné par l’Académie Symphonique de Paris et les Choeurs de Limours.
Elle chante régulièrement dans le nord de l’Italie lors de concerts-conférences sur la musique française et italienne du XIXème siècle.
Delphine Doriola est directrice artistique de la Compagnie Lyrique Après Un Rêve, spécialiste de la musique française des XIXème et XXème siècles.
Un CD spécial Offenbach, enregistré avec l’Orquestra do Norte (Portugal) et le violoncelliste Yoël Cantori sortira prochainement dans le commerce.

Pierre Perny, ténor

Très tôt passionné de musique, Pierre Perny s’est initié au chant en participant à plusieurs chœurs toulousains. Parallèlement à des études d’Anthropologie, c’est avec l’Ensemble Baroque de Toulouse, sous la direction de Michel Brun, qu’il fait ses premiers pas en tant que soliste dès 2005 et qu’il décide alors de faire du chant son métier.

Pierre Perny

En 2006, il devient Chantre du Centre de Musique Baroque de Versailles où il développe sa technique vocale avec Julie Hassler puis avec Isabelle Desrochers. Il obtient un Diplôme d’Études Musicales « spécialisation chant baroque » en 2010.

Pierre Perny, Ténor

Il aura l’opportunité de se produire très souvent en concert sous les directions d’Olivier Schneebeli et de chefs invités dans de prestigieux endroits et festivals en France ainsi qu’à l’étranger.
Depuis la fin de ses études, il chante avec Le Concert Spirituel dirigé par Hervé Niquet, avec l’ensemble Accentus, sous la direction de Laurence Equilbey, avec Les Talens Lyriques sous la baguette de Christophe Rousset, avec l’ensemble Antiphona dirigé par Rolandas Muleika, avec le groupe Scandicus, avec l’ensemble Sagittarius dirigé par Michel Laplénie, au sein de l’ensemble Divona dirigé par Albertus Dercksen, avec l’ensemble Chronochromie dirigé par Jean-Michel Hasler, avec Voce Tolosa sous la baguette d’Olivier Perny, au sein du groupe Solistes XXI dirigé par Rachid Safir. Il travaille régulièrement en Suisse avec La Cappella Genevensis sous la direction de Claude-Xavier Hollenstein ainsi qu’au sein de l’Académie Bach de Porrentruy ayant pour chef Michael Radulescu.
Pierre Perny a participé à plusieurs productions discographiques : « 200 ans de Musiques à Versailles » (MBF), « Trois hiérodrames » d’Henri-Joseph Rigel et « Grands Motets » de Pierre Robert, avec Les Pages et les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles (K 617). « Quam pulchra es, Messe et Motets » de Dominique Phinot, avec le groupe Scandicus et A Sei Voci (Arion). « Renaud » d’Antonio Sacchini, avec les Talens Lyriques. « Andromaque » d’André-Ernest-Modeste Grétry, et « Les Fêtes de l’Hymen et de l’Amour » de Jean-Philippe Rameau, avec Le Concert Spirituel (Glossa).
Il se perfectionne actuellement avec le ténor Guy Flechter.

Thomas Monnot, baryton

Né en 1989, il débute le chant à l’âge de 7 ans au sein de la Maîtrise de Dole Franche-Comté. Il poursuit les cours de chant au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Dole en même temps qu’une licence de musicologie à Besançon. Il arrive à Paris en 2010 pour y poursuivre ses études, l’apprentissage du chant et la direction de chœur. En parallèle de son master, il entre dans la classe de chant du conservatoire Darius Milhaud au XIVe arrondissement avec Alexandra Papadjiakou et participe à divers projets. Il est soliste dans l’oratorio L’homme qui titubait dans la guerre d’Aboulker en 2012 et interprète des extraits de Figaro et du comte Almaviva dans Les noces de Figaro de Mozart en 2013. Il chante avec orchestre à la salle Gaveau « C’est un métier difficile » du comte Oscar dans Barbe-Bleue d’Offenbach ainsi que « Hai già vinta la causa? » du comte Almaviva dans Les Noces de Figaro en 2014. Il participe au festival de la Voix de Châteauroux en 2013 avec l’ensemble vocal Apostroph’. Membre depuis 2011 du chœur Mélanges dirigé par Ariel Alonso, il est soliste dans le Requiem de Duruflé lors d’un concert pour le festival de Musique Sacrée de Rocamadour en 2014.

Thomas MONNOT

Anne-Lou Bissières, alto

Formée dans son enfance au violoncelle, piano et arts de la scène (danse et théâtre), elle se consacre au chant après des études en histoire de l’art. Formée par Maurice Brach, elle suit également les cours et masterclasses de Thierry Grégoire, Évelyne Brunner et Jean-Pierre Furlan. Son parcours singulier l’amène à collaborer à des projets éclectiques, abordant des répertoires allant de l’opéra à la musique ancienne et l’oratorio, en passant par la création contemporaine, la mélodie et la musique amplifiée.
Elle chante avec Les Cris de Paris, le chœur du Théâtre des Champs-Élysées, Les Siècles, Arsys Bourgogne, Mélismes, L’Ensemble vocal d’Île-de-France, Luce del Canto, Les Métaboles, Europa Barocca, Chronochromie…Elle chante régulièrement sous la direction de Geoffroy Jourdain, Mihaly Zeke, Simon-Pierre Bestion et Léo Warinsky et collabore également avec les pianistes et chefs de chant Alphonse Cémin, Arlinda Roux, Nicolas Chesneaux et Emmanuel Olivier.
En chœur, elle a eu l’occasion de chanter sous la direction de Jérôme Corréas, Vincent Dumestre et François-Xavier Roth, et de créer de nombreuses œuvres contemporaines de compositeurs comme Thierry Machuel, Oscar Strasnoy, Marco Stroppa, Zad Moultaka, Aurélien Dumont et Mauro Lanza.
Elle chante également en soliste (Requiem de Mozart, La Flûte enchantée de Mozart, Stabat Mater de Pergolèse, La Première Nuit de Walpurgis de Mendelssohn…) ou ensemble de solistes (Bach, Schütz, Gabrieli, Schein, Hersant, Allegri, Caldara, Monteverdi…).

Anne-Lou BISSÈRES, Alto

Randol Rodriguez Rubio, ténor

Randol Rodriguez Rubio

C’est à Cuba où il a passé sa jeunesse que Randol a suivi sa principale formation musicale, d’abord pour le piano au Conservatoire de Musique de Camaguey (1993-1997) puis en chant et direction de chœur à l’Université des Arts de Cuba (1999 – 2003). Il l’a complétée en 2000 d’une Master class avec Daniel Barenboïm (piano).
En parallèle, il a exercé ses talents de chanteur au Chœur National de Cuba et au Chœur Exaudi (1999 – 2003).
En France, il met son talent au service nombreux ensembles vocaux qui lui permettent de faire la connaissance d’élèves puis amis d’Ariel Alonso : Ensemble Pygmalion, Ensemble Aedes, les Cris de Paris, après avoir aussi été membre du chœur de l’Église de la Madeleine.
Il fait valoir ses talents de pianiste en tant qu’accompagnateur des Petits Chanteurs de Saint-Louis (2005 – 2009).
Depuis 2006, il est professeur de formation musicale à l’École municipale des arts à Orly.
Toujours en France, il a participé à de nombreux événements musicaux : Saison musicale à l’Opéra Royal et à la Chapelle Royale du Château de Versailles (2011- 2013), Festival de Sablé (2012), La Folle Journée de Nantes (2011), Festival international de piano La Roque d’Anthéron (2011), Saison musicale à l’Opéra de Bordeaux (2010-2013), Festival international d’opéra baroque de Beaune (2010-2013), Festival d’Ambronnay (2010 et 2013)
Festival de Saintes (2010), Festival de musique de la Chaise-Dieu (2009-2013), 50ème anniversaire de France Festivals – Montpellier (2009), Biennale d’art vocal à la Cité de la musique (2008 et 2013), Saison musicale de Royaumont (2008, 2011, 2012 et 2013).
Randol a en même temps étendu sa réputation largement à l’étranger : Festival Segni Barocchi, Foligno, Italie (2013), Schwetzinger SWR Festspiele (2013), Klarfestival (2012-2013), Tournée musicale en Chine et en Corée (2012), Kaija Saariaho-Carnegie Hall’s 2011–2012 « composer-in-residence » (2012), Rheingau Music Festival, Wiesbaden, Allemagne (2012), Musikfest Bremen (2010-2013).

Clara Guillon, soprano

Née en 1992 en France, elle a commencé ses études de chants à l’âge de 8 ans, avec Josette Leculeur. Elle entre ensuite au Conservatoire National de Région de Poitiers (Vienne) à l’âge de 14 ans, dans la classe de Geneviève Bouillet puis celle de Gérard Daviet. Elle obtient la mention très bien en niveau supérieur au concours de l’UMPCF à Paris puis le Prix de la Région au concours international de Chant de Vivonne.
En 2011 et 2012, elle est engagée au festival Figaro Si Figaro là pour la Vie Parisienne puis pour le rôle de Barberine des Noces de Figaro et enfin pour le rôle de Serpolette des Cloches de Corneville en Juillet 2014. Elle chante en concert de musique ancienne à Sarlat et à Saint-Loup sur Thouet, obtient en 2014 le 2ème prix d’opérette à l’unanimité au Concours des amis du Grand théâtre de Bordeaux.
Elle chante le rôle de Miles du Tour d’Écrou de B. Britten et celui de Despina de Cosi fan tutte de Mozart au grand théâtre de Calais. En Juin 2014 à Paris elle chante Die Mutter dans Hänsel et Gretel d’Humperdinck, Senta dans le Vaisseau fantôme de Wagner.
Elle se perfectionne actuellement à Paris auprès de Sophie Hervé, où elle a pu notamment travailler avec Laurent Naouri et Didier Henry. Prochainement elle sera Angélique dans Georges Dandin ou le mari confondu de Max d’Ollone à Paris mise en scène par Catherine Dune.

Clara Guillon

Stéphane Mège, chef invité

Violoniste de formation, Stéphane Mège est reçu en 2007 au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris en écriture. Il y obtient brillamment les Prix d’harmonie, de contrepoint, de fugue et de polyphonie Renaissance, de même que les certificats d’analyse, de piano, d’harmonie au clavier et d’initiation à l’orchestration.
Après avoir étudié la direction d’orchestre auprès de Claire Levacher et Philippe Ferro, il obtient son Certificat d’initiation à la direction d’orchestre, mention Très Bien. Depuis 2011, il est un des chefs des Orchestres de Jeunes Alfred Lœwenguth. Il encadre notamment l’orchestre Prélude, constitué des plus jeunes musiciens de cette association. À l’orchestre de l’Académie de musique de Paris, il est le chef assistant de Jean-Philippe Sarcos pour la quatrième année consécutive.
Amoureux de la musique française allant de la fin du 19e au début du 20e siècle, il donne en concert ses arrangements et ses orchestrations des Ariettes oubliées (Debussy), Trois chansons de Bilitis (Debussy) et Vocalise en forme de Habanera (Ravel).
Orchestrateur reconnu, ses réalisations sont désormais l’objet de commandes du Théâtre du Châtelet, de l’orchestre de Besançon, de nombreux ensembles de musique de chambre et de plusieurs conservatoires. Il a dirigé son orchestration de L’Isle Joyeuse de Debussy au conservatoire de Saint-Maur. Médiateur, il est a récemment été invité par le Théâtre du Châtelet pour présenter un concert dans le cadre des Concerts Tôt/Tea.

Stéphane Mège

François Baud, ténor

Après des études en Physique et Chimie et l’obtention du Certificat d’Aptitude au Professorat des Ecoles, François partage actuellement son temps entre l’enseignement et sa passion pour le chant.
Suite à une formation en guitare classique au CNR de Rennes, il entre au CNR de Rueil Malmaison dans la classe de chant lyrique d’Elisabeth Vidal et André Cognet. La même année, lors de son passage au Choeur de la Garde Républicaine, il travaille sous les directions de Yutaka Sado, Jean-Claude Casadesus ou Patrick Marie Aubert.
Il poursuit après cela son cursus de chant et obtient son diplôme dans la classe de chant d’Annick Vert. Elle lui offre alors ses premiers soli dans Bach ou Puccini au sein de l’ensemble vocal et instrumental « Volubilis » qu’elle dirige.
Depuis, en tant que soliste, il chante aussi et notamment, sous les directions de :

Michel Piquemal (Stabat Mater et Petite Messe Solennelle de Rossini) ,
Paul Colléaux ( A Child of our Time de Tippett, Odes à la Reine Marie de Purcell, Dixit Dominus de Vivaldi, Dixit Dominus de Haendel, Messe Nelson de Haydn, Lieder et Quatuor de Schubert, Ombra del Morir de Penard),
Yves Parmentier (Les Vêpres de Monteverdi, Miserere de Donizetti , Quatuor et Lieder de Brahms et Schumann),
Valérie Fayet (Requiem de Verdi),
Thierry Bréhu (Messa di Gloria de Puccini),
Eric de Fontenay (Requiem de Campra),

Ces nombreuses prestations en tant que soliste l’ont amené à se produire aux côtés d’ensembles tels que Galatée (G. Llabre), Stradivaria (D. Cuiller), la Réjouissance (S. Intrieri), L’Ensemble Cénoman et Opus 61 (V. Fayet), le Quatuor Liger, Europa Barocca (S-Pierre Bestion de Camboulas), Le Festin d’Alexandre (Joël Cartier), l’Ensemble Instrumental de la Mayenne (Y.Parmentier), la « Philar » (F.Oster), l’Orchestre Universitaire de Nantes (S.Oster) ou encore avec l’organiste Michael Durand, les pianistes Michael Vladkowsky, Louise Cozian, Yoan Héreau, Guillaume Corti, Aurélie Leblan, Jérôme Kus, Claire Gaudron ou Grégory Grosbois…
Il a ainsi chanté lors de festivals tels que : « La Folle Journée », le « Festival de l’Abbaye de l’Épau », le « Festival de l’Abbaye de Sylvanès », les « Nuits de la Mayenne », le « Festival d’Arts Sacrés d’Évron », le « Festival des voix de Caen – Viva Voce », le Festival « Mélusicales » en Vendée.

François Baud dans Lakmé

Virginie Foucard, soprano

Virginie Foucard

Virginie Foucard est née en 1984 à Paris. Son amour pour la musique se révèle très tôt . À six ans elle intègre le chœur d’enfants Les Petits Chanteurs de Saint Louis sous la direction d’Ariel Alonso. À partir de 1997, elle devient la soliste principale asseyant ainsi son aisance scénique grâce aux nombreux concerts exécutes à travers le monde (Mexique, États-Unis, Argentine, Pologne, République Tchèque, Tunisie etc.) ce qui lui permet également de participer à des enregistrements discographiques (Stabat Mater de Pergolese, Dixit Dominus de Haendel etc.). Aujourd’hui encore, elle est invitée à chanter lors des grands concerts Parisiens comme pour La Petite Messe Solennelle de Rossini en 2006 , des airs de l’oratorio Solomon de Haendel en 2005 ou encore pour la Missa dei Filii de Zelenka en 2009.
Elle poursuit ses études au sein du conservatoire Erik Satie dans la classe de Caroline Pelon et se décide en 2006 à les approfondir à l’étranger en intégrant le département de Musique ancienne de l’Accademia Internazionale della Musica de Milan sous la direction de Roberto Balconi. Se tournant ainsi vers sa musique de prédilection, la musique baroque, elle interprète aux côtés de Stefano Montanari le Laudate Pueri RV601 de Vivaldi en 2007. Cette même année, elle participe au festival « l’Orgue d’Août » à Bruxelles au sein de l’ensemble baroque la Divina Armonia sous la direction de Lorenzo Ghielmi.
En 2007 elle intègre la Guildhall School of Music and Drama à Londres où elle étudie avec de prestigieux professeurs tels que Robin Bowman et Susan Mc Culloch. Cette école lui permet également de travailler aux côtés d’Emma Kirby, Mark Padmore et Christian Curnyn.
Diplômée depuis peu, elle est revenue en France travailler notamment au sein du chœur Arsys Bourgogne dirigé par Pierre Cao grâce auquel elle se produit dans des salles prestigieuses comme au Théâtre des Champs Elysées à Paris ou au Philharmonie du Luxembourg.

Sébastien Obrecht, ténor

Sébastien Obrecht

Après une carrière de violoncelliste au sein de brillantes formations, le ténor Sébastien Obrecht choisit de poursuivre son parcours musical dans l’art lyrique.
Ses débuts lui sont offerts par Paul McCreesh dans Mathan d’Athalia de Haendel. Cette production de l’Académie d’Ambronay est diffusée dans « Musiques au cœur » d’Ève Ruggeri et sa prestation est saluée par la critique:
« …Parmi lesquels se distingue l’élégance du ténor Sébastien Obrecht » (Le Monde de la Musique),
« Sébastien Obrecht, révélation de la soirée… » (La Croix),
« …with french tenor Sébastien Obrecht singing the priest of Baal with a fine tenor line. » (Musical Opinion).

Dès lors il est sollicité par différents ensembles tels que : Le Concert Spirituel, La Simphonie du Marais, Le Parlement de la Musique, Les Passions, La Chapelle Rhénane, Le Baroque Nomade. Récemment il a chanté la Taille solo dans le Requiem de Campra sous la direction de Lionel Sow à Notre-Dame de Paris.

Sébastien s’exprime avec autant d’aisance dans les répertoires classiques romantiques et contemporains : Don Ottavio, Tamino, le récitant dans L’enfance du Christ de Berlioz et Das Paradies und die Peri de Schumann, dirigé par Cyril Diederich. Il a également incarné Don José dans plusieurs productions de Carmen dont une récemment en Angleterre sous la direction de John Gibbons. Citons aussi son interprétation de Monsieur Martin dans La Cantatrice Chauve de J.P. Calvin avec l’Orchestre Lamoureux, dans une mise en scène de François Berreur au Théâtre de l’Athénée et sa récente prise de rôle du tambour major de Wozzeck mis en scène par André Engel à Royaumont. Jean Christophe Spinosi lui a notamment confié le rôle-titre dans Le Nozze Di Teti e di Pelleo à l’Opéra de Rennes.

Passionné par le lied et la mélodie française, il a été souvent entendu dans ce répertoire sur France Musique dans « Le Cabaret Classique » de Jean-François Zygel, « Un mardi idéal » d’ Arielle Buteaux, et à « L’atelier des chanteurs » de Stéphane Goldet. Par ailleurs, José Montalvo et Dominique Hervieu ont imaginé pour lui une figure d’Orphée chantant en s’accompagnant au violoncelle dans leur spectacle Orphée créé au TNC et repris en tournée internationale.

Sébastien Obrecht est lauréat du concours Armel Opera en 2013 à Szeged. Suite à ce succès il est engagé dans le rôle de Peter Quint dans Turn of the Screw de Britten à l’Opéra d’Istanbul. Il sera également le premier ténor non géorgien à incarner le rôle d’Abesalom dans Abesalom da Eteri de Zakaria Paliashvili à l’Opéra de Tbilissi en 2014. Cet été 2013, il a chanté la Nelson Messe de Haydn et une création de Tarik O’Regan avec le Royal Philarmonic Orchestra pour les 800 ans du meeting de Saint Albans. En Août et Septembre, il chante la Petite Messe Solennelle de Rossini dans une mise en scène de Charlotte Nessi et dirigée par Lionel Sow avec l’ensemble Justiniana. Cette tournée s’achève à l’Opéra de Vichy.

Parmi ses projets de 2014, citons encore la prise du rôle d’Hoffmann. Il rejoindra ainsi la Fabrique Opéra de Grenoble pour sa nouvelle production des Contes d’Hoffmann d’Offenbach dirigée par Patrick Souillot et mise en scène par Jean-Jacques Durand. Il chantera aussi les Sept dernières paroles du Christ en Croix de César Franck à Paris sous la direction d’Ariel Alonso.

Enfin très prochainement et toujours à Paris, il reprendra le très beau rôle du Récitant dans Das Paradies und die Peri de Schumann à Saint Roch sous la baguette de Till Aly avec l’ensemble Europa Voce.

Bénédicte Hilbert, soprano

Bénédicte Hilbert

Bénédicte Hilbert découvre le chant à 18 ans lors d’un spectacle musical qu’elle crée autour de la musique yiddish. Forte d’une formation d’instrumentiste, (alto et piano), elle intègre la classe d’Ana Maria Miranda à l’Ecole Normale de Musique de Paris. Elle suit ensuite l’enseignement de Christiane Issartel et enfin celui d’Isabelle Guillaud auprès de qui elle obtient son Prix de chant au Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris en 2010. Elle travaille depuis auprès de Jean-Louis Paya.

En 2010 elle remporte plusieurs prix: un Premier Prix au Concours Léopold Bellan, niveau Excellence, et le Prix du Public au concours du Festival de musique et langue française de Triel-sur-Seine, est troisième nommée au Concours de l’UPMCF et est finaliste en 2011 du Concours national de chant de Beziers.

Elle a participé aux master class de Françoise Pollet, Regina Werner, Elisabeth Vidal, Delphine Haidan et Florian Laconi.

En 2007, son premier engagement l’amène à chanter le Psaume 42 de Mendelssohn sous le direction de Fabrice Parmentier avec le chœur et l’orchestre de l’université de Nanterre. Depuis, régulièrement invitée, elle y a chanté le Gloria de Vivaldi (2010) ainsi que celui de Poulenc (2009), des extraits des Saisons de Haydn, la Trauerkantate de Telemann, la cantate 68 de J.S. Bach (2010) et la Missa Sacra de Schumann (2011).

En juin 2011, elle est soliste dans le Requiem de Fauré sous la direction d’Ariel Alonso et est invitée en mars 2012 à chanter le Gloria de Poulenc avec le chœur et l’orchestre de la Sorbonne sous la direction de Vincent Barthe.

Sur scène et dans le cadre de ses études, elle a chanté le rôle de Suzanne des Noces de Figaro de Mozart dans une mise en scène de Christiane Issartel (2007), celui de Pamina dans la Flûte enchantée (2008- mise en scène Christiane Issartel) et enfin celui d’Angélique dans Angélique de Ibert en 2009.

Passionnée du répertoire du Lied et de la mélodie (elle est également licenciée en allemand), elle se perfectionne auprès de Françoise Tillard et se produit régulièrement avec des pianistes tels que Edwige Herchenroder, Natacha Medvedeva, Sophie Chui.

En décembre 2012, elle chantera sa première Reine de la Nuit de la Flûte enchantée de Mozart à l’opéra studio de Gand.

Agathe Trébucq, soprano

Agathe Trébucq le 3 juin à La Scène, Limours

Après des études de droit, Agathe Trébucq se consacre pleinement à la musique.
Elle étudie le chant auprès de Delphine Collot, Robert Expert, Catherine Radlo et actuellement Elsa Maurus.

Agathe Trébucq

Elle participe à de nombreux stages, notamment avec Catherine Radlo mais également à la Chaise-Dieu avec Robert Expert et Delphine Collot.
En 2008, elle commence à donner des concerts-récitals avec Alba Yufera, mezzo-soprano, et Yoan Hereau, pianiste, à Paris, et donne également avec lui un récital en septembre 2009 en Bretagne. Elle donne en avril 2010, un concert de musique baroque à l’église de la Teste de Buch et un concert-récital Mozart en juillet 2010 en Bourgogne avec Constance Gabillet (soprano) et Edgar Soro Perez (pianiste).
Elle chante dans les chœurs d’Aïda en 2007 avec la compagnie du Renouveau Lyrique.
En avril 2011, elle est Sœur Radegonde dans l’opérette Intrigue à Talmont sur une musique de Jacques Offenbach et un livret de Christophe Vallantin-Dulac.
Elle fait actuellement partie de deux ensembles vocaux : « Mélanges » dirigé par Ariel Alonso, et « Les Métaboles », dirigé par Léo Warynski.

Marianne Dellacasagrande, alto

Marianne Dellacasagrande

Marianne Dellacasagrande tout d’abord élève de Robert Dumé à Paris – elle obtiendra en juin 2000 un premier prix de la Ville de Paris- puis rencontre l’été 2000 en Italie, le Professeur Boris Bakow avec qui elle poursuivra sa formation au Mozarteum de Salzbourg.
Parallèlement, elle suit l’enseignement de Hartmut Höll et de Mitsuko Shirai auprès de qui elle étudie le Lied allemand et la mélodie. En juillet 2002, elle est sélectionnée pour participer à une master class dirigée par Dietrich Fischer-Dieskau à Münich.
En 2007, elle chante, entre autres, les Bachianas Brasileiras de Villa-Lobos, avec le pupitre de violoncelles de l’Orchestre de Radio France. Elle participe, en tant qu’alto solo avec l’Ensemble baroque Clématis, au « Klara Festival » de Belgique (Dendermonde) sous la direction de Léonardo Garcia Alarcon.
Elle interprète également Rosine dans Le Barbier de Séville de Rossini avec la compagnie Figaro Si Figaro là. En décembre 2007, elle chante la mezzo solo dans la Messe en Ut mineur de Mozart à Paris.
En mars 2008 : doublure pour le rôle-titre de l’opéra Padmâvatî au Châtelet. Lieder de Schubert et de Brahms au Printemps musical de Saint-Cosme, avec les pianistes Marie-Josèphe Jude et Akiko Yamamoto et en mai à nouveau Rosine au Théâtre d’Herblay sous la direction de Jean-Luc Tingaud.
En juillet 2008, elle chante Mercedes dans Carmen, à l’opéra de Gijon sous la direction de Mariano Rivas.
Marianne Dellacasagrande continue de suivre les conseils avisés de Madame Nadine Denize.

Guilhem Terrail, contre-ténor

Guilhem Terrail

Après un début de carrière comme baryton, Guilhem Terrail découvre sa
voix de contre-ténor en 2007.
Musicien accompli, pianiste et chef de choeur, il aborde avec un égal bonheur la musique baroque, contemporaine ou romantique. Il s’est ainsi produit en 2012 dans Thanks to my eyes d’Oscar Bianchi sous la direction de Léo Warynski avec l’Ensemble Modern, remplaçant au pied levé Hagen Matzeit dans le rôle principal de l’opéra, dans le cadre du festival Musica de Strasbourg. Il apparaît également dans Elias de Mendelssohn, sous la direction de Raphaël Pichon au festival de La Chaise-Dieu, dans la Passion selon Saint-Matthieu de Bach au Temple du foyer de l’âme dans le cadre de l’intégrale des cantates de Bach.
Il se produit comme soliste dans la Messe en si, la Passion selon Saint-Jean, et diverses cantates de Bach, les Sept dernières paroles du Christ de Haydn, les Vêpres de Monteverdi, plusieurs cantates de Haendel mais aussi dans les Vêpres de Rachmaninov et le Requiem de Durufé sous la direction de Raphaël Pichon, Jérôme Corréas, Ariel Alonso ou encore Philippe Le Fèvre.
Il fait partie des ensembles Pygmalion (direction, Raphaël Pichon) et Les Métaboles (direction, Léo Warynski), avec lesquels il se produit régulièrement.
Guilhem Terrail se perfectionne aujourd’hui avec Robert Expert pour la technique vocale et Carmelo Agnello pour la formation scénique.

Matthieu Justine, ténor

Matthieu Justine

Ténor lyrique léger, Matthieu Justine se forme à la comédie musicale dès le collège, avec l’atelier de Jean et Thomas Bellorini, pendant près de dix ans. En 2005, il débute une formation de chanteur lyrique au conservatoire du 17e arrondissement avec Ingrid Villisech et Mariette Jost. Il suit actuellement des cours de chant avec Daniel Galvez-Vallejo et du coaching vocal avec Thierry Dran. En parallèle de sa formation musicale, il suit des cours au studio-théâtre Alain De Bock pendant deux ans, et a intégré cette année la classe d’art dramatique du conservatoire de Cergy.
Choriste dans l’opéra Gariné de Dikran Tchouadjan, sous la direction de Gérald Papasian et Vincent Bonzom, il fait aussi partie du quatuor arménien « Arevadzaghig », créé depuis 2010 avec le soutien du Centre de Recherche Dirkran Tchouadjan.
En tant que comédien, il a joué notamment dans Les petits aquarium de Philippe Minyana au théâtre du Lucernaire, et dans Cabaret des Surréalistes au théâtre du Tambour Royal.
Actuellement, il travaille en tant que choriste dans plusieurs ensembles, dont le chœur Mélanges, dirigé par Ariel Alonso. Il chante régulièrement la partie soliste de La Petite Messe Solennelle et du Stabat Mater de Rossini. Il est également soliste dans La Belle Hélène d’Offenbach, où il interprète le rôle de Pâris à l’Espace Saint Pierre, et incarne Babylas dans Monsieur Choufleuri, mis en scène par Bernard Jourdain.

Matthieu Justine

Alejandro Gabor, baryton

Né à Buenos Aires en Argentine en 1983, Alejandro Gabor commence ses études musicales (piano et chant) au Conservatoire de Musique de Buenos Aires et au sein de la Compagnie de Las Luces, compagnie d’opéra baroque, spécialisée dans le répertoire français. Il fait également partie aussi du Chœur National de Jeunes avec lequel il effectue de nombreuses tournées et remporte divers prix internationaux. Installé en France depuis 2007, il se perfectionne à la Maîtrise de Notre Dame de Paris où il obtient son diplôme de fin d’études en 2010. Il participe à de nombreuses masterclasses auprès de Margreet Honig, François Le Roux, Noëlle Barker, Martin Isepp, Udo Reinemann.
En tant que soliste, Alejandro Gabor a incarné les rôles de Don Quichotte dans Les Tréteaux du Maître Pierre et du Devin dans Le Devin du Village (Festival Opéra de Chambre de Choisy-le-Roi). Il a également chanté pour le Festival « Les Heures Romantiques » en Touraine et pour l’Académie Maurice Ravel à St Jean de Luz.

Alejandro Gabor, baryton

 

L’Académie symphonique de Paris et Jérôme Treille

Cet ensemble à géométrie variable a été fondé notamment par le violoncelliste Jérôme Treille.
Sans chef permanent, il regroupe les meilleurs instrumentistes, tous issus des plus prestigieuses phalanges parisiennes.
Des saisons passées, on retiendra plus particulièrement la force et la justesse d’interprétation de la Messe en si de Bach, du Requiem de Mozart, du Messie de Haendel, du Requiem Allemand de Brahms, des Stabat Mater de Rossini et de Dvořák et du Gloria de Vivaldi.
Son violon solo, Valérie Beutin, a suivi ses études musicales au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où elle a obtenu en 1988 un prix d’harmonie. En 1989 elle obtient un premier prix de violon, et un premier prix de musique de chambre. Elle a été récompensée par un prix de musique de chambre au concours international de Paris en 1989.

Académie Symphonique de Paris et Jérôme Treille

Académie Symphonique de Paris et Chœur lors des concerts de juin 2012

Caroline Casadesus, soprano

Née dans une famille d’artistes, Caroline Casadesus se tourne vers le chant après des études d’histoire. Elle reçoit aujourd’hui les conseils d’Yva Barthélémy.
Avec un large répertoire lyrique, la soprano se produit régulièrement en récital avec notamment Bruno Rigutto au piano, dans des œuvres de Brahms, Schumann, Mahler, Poulenc, Chausson ou Ropartz et interprète aussi les grands airs d’opéra de Mozart, Verdi, Puccini…
Avec différentes formations symphoniques, elle chante l’oratorio (les requiem de Verdi, Brahms, Mozart, Fauré…), elle tourne en Europe, en Russie, aux Etats-Unis avec les Quatre derniers lieder de Strauss, les Wesendonck lieder de Wagner, les Bachianas Brasileiras de Villa-Lobos, les grands airs du répertoire lyrique, mais interprète aussi les compositeurs contemporains comme Dominique Probst, Dominique Préchez, Xavier Goulard, et Didier Lockwood.
Elle débute une riche collaboration avec le violoniste de jazz. Ils se produisent régulièrement en concert ensembles notamment dans le spectacle Omkara (avec le danseur indien Raghunath Manet), en trio avec Dimitri Naïditch au piano, dans un répertoire allant du classique au jazz en passant par la création originale.
Avec la comédienne Catherine Chevallier, elle crée « Bella Donna », spectacle rassemblant art lyrique, danse, comédie et musique improvisée.
Pour le disque, elle interprète Béryl (B.O. du film les enfants de la pluie chez MK2 Music), musique originale de Didier Lockwood.
En mai 2004, salué par la critique, son disque « Hypnoses » sort chez Universal Classics. Les 13 mélodies symphoniques composées sur mesure par Didier Lockwood, explorent les tourments amoureux d’une femme, sur des poèmes de René Char, de Louis Aragon, de Georges Pérec, mais aussi du compositeur.

En 2005 elle enregistre « Passion à visage d’homme » de Dominique Prechez qui sort chez Ames (distribué par Harmonia Mundi). .

Avec Didier Lockwood et Dimitri Naïditch, elle s’installe au théâtre Pépinière-Opéra à Paris, du 25 mai au 30 juin 2005, puis à la Gaîté Montparnasse d’octobre à décembre 2005 dans un spectacle explosif, « le Jazz et la Diva », mis en scène par Alain Sachs, qui raconte avec humour la rencontre surprenante entre le violoniste de jazz et la chanteuse classique et la cohabitation apparemment improbable de leurs deux univers musicaux !
Salué par une presse unanime, ce spectacle est nommé aux victoires de la musique 2006, et remporte le Molière 2006 du spectacle musical, il est repris au Théâtre Tristan-Bernard de novembre 2006 à janvier 2007, puis en tournée nationale et internationale.

Le disque du spectacle sort chez Ames, en 2006. Il remporte le prix de l’Académie Lyrique.

Pour France 2, elle interprète le rôle d’Esther dans “ Le Sanglot des Anges “, film réalisé par Jacques Otmezguine ; elle y incarne une diva des années 60 aux côtés d’artistes prestigieux comme Ruggero Raimondi, Ludmila Mikaël, Marthe Keller…

Ce chemin atypique lui autorise les plus belles rencontres musicales. Caroline Casadesus se produit en concert avec ses fils Thomas Enhco (pianist, violoniste et compositeur) et David Enhco, (trompettiste et compositeur), jeunes virtuoses du classique et du jazz.
Confortés par le Molière du premier spectacle, Caroline Casadesus et Didier Lockwood créent “Le Jazz et la Diva Opus 2″, accompagnés de David et Thomas Enhco à la Gaîté Montparnasse pendant plus de 130 représentations, devant 40 000 spectateurs, d’octobre 2008 à avril 2009 puis ils partent en tournée pour plus de 70 représentations et 60 000 spectateurs pendant la saison 2009-2010.

Le spectacle est nommé aux “Globes de Cristal 2010”. Le disque du deuxième opus sort en 2008 chez Ames.

En 2010 elle enregistre la messe crossover de Pierre Gérard Verny, pour soprano et choeur de femmes.
En 2011 le Trio Casadesus-Enhco part en tournée en Syrie et en Jordanie. La même année, Caroline Casadesus chante sous la direction de Jacques Attali avec l’Orchestre Universitaire de Grenoble. Elle chante les Quatre derniers lieder de Strauss et la Mort d’Isolde de Waner avec l’Orchestre National de Lille sous la direction de Jean Claude Casadesus (qu’elle retrouvera en février 2013 pour la Voix Humaine de Poulenc).

En 2012 elle sera Marie de l’Enfance du Christ de Berlioz sous la direction de Laurent Petitgirard avec l’Orchestre Colonne. Elle chante régulièrement sous la diection de Martin Barral à Paris et en région parisienne, les requiem de Brahms, Dvorak, les Quatre Derniers Lieder de Strauss.

En 2012 elle chante et enregistre Noémi dans Ruth de César Frank, avec l’Orchestre Symphonique du Campus d’Orsay.

Elle sera artiste en résidence trois ans pour la ville de Saint Fargeau Ponthierry en Seine et Marne, avec deux spectacles en création, “la Voix Humaine” de Poulenc, “Une Femme Debout” dans les mises en scènes de Juliette Mailhé.

Elle se produit toujours régulièrement en récital, avec Bruno Rigutto, Dimitri Naïdich, et avec le Trio Casadesus-Enhco.

Caroline Casadesus